Carburant alternatif :
PUR ED95

Logo PUR ED95

PUR-ED95 est un biocarburant produit à partir de résidus viniques, contenant 95 % de bioéthanol et 5 % d’un additif non pétrolier. Ce carburant n’émet que très peu de particules (PM) et moitié moins d’oxydes d’azote (NOx). La classification des véhicules CRIT’AIR positionne les véhicules Euro 6 ED95 en catégorie 1.

 

-90%

de réduction maximum de CO2

-70%

de baisse minimale d’émission de particules fines et ultra fines

CRIT’AIR 1

Matières premières

Marcs & lies de raisin

Norme

Arrêté du 29 mars 2016

Compatibilité

Scania 410ch

Tenue à froid

-30°C

Régime ICPE

Non applicable

Classification

Crit’Air 1

Caractéristique

Les avantages du PUR-ED95

Le carburant des ZFEs

Seul biocarburant liquide éligible Crit’Air 1

Issu de l’économie circulaire

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » : ce cercle vertueux de Lavoisier prend ici tout son sens, puisque l’ED95 permet d’exploiter au mieux les ressources locales tout en contribuant à la réduction des déchets viticoles.

Une énergie durable et tracée

L’ensemble de la production est tracé et certifié durable en accord avec la Directive Européenne sur l’énergie. À chaque commande, le client reçoit une attestation de durabilité certifiant l’origine et le % de CO2 non émis dans l’atmosphère.

Un pas immédiat vers la transition énergétique

Réduction de + de 90 % des émissions de CO2, très peu d’émissions de particules, et une diminution supérieure à 50 % des oxydes d’azote (NOx). L’ED95 répond au double enjeu environnemental et de santé publique.

Un atout commercial 

Le PUR ED95 vous permet de répondre aux attentes de vos clients sensibles aux contraintes écologiques tout en améliorant votre politique RSE.

Simplicité du stockage

Le stockage de ce biocarburant s’opère dans des cuves spécifiques, qui peuvent être aériennes ou enterrées selon les sites. Comparée au gaz naturel, la nature stable de l’ED95 facilite le stockage, sans aucun risque d’expansion ou de compression du liquide.

Le processus de fabrication

D’où vient le PUR ED95 ?

 

L’ED95 est composé de 95% d’éthanol et 5% d’additifs non pétroliers. Fabriqué à partir de résidus viniques, essentiellement du mar de raison, ce biocarburant offre des performances environnementales remarquable.

 

Dechet de vin ED95

Questions fréquentes

S’il existe depuis plus de 20 ans en Suède, l’usage de l’ED95 reste encore limité dans le paysage routier français. Seul le constructeur Scania a développé une motorisation spécifique, destinée aux moteurs à allumage par compression (type Diesel). Le constructeur suédois propose aux flottes de véhicules poids lourds une motorisation de 410 chevaux Euro 6. D’autres motorisations sont annoncées.

Pour quels véhicules et quelle motorisation ?

L’ED95 est soumis aux mêmes contraintes de stockage, de positionnement et de distance que l’essence. Le stockage de ce biocarburant s’opère dans des cuves spécifiques, qui peuvent être aériennes ou enterrées selon les sites. Comparée au gaz naturel, la nature stable de l’ED95 facilite le stockage, sans aucun risque d’expansion ou de compression du liquide. L’ED95 étant un éthanol, il ne gèle jamais, et ne génère aucun problème de démarrage à froid.

Quelles sont les conditions de stockage ?

Le coût à l’acquisition d’un véhicule ED95 est d’environ 5 000€ plus cher qu’un véhicule diesel mais reste nettement moins onéreux qu’une motorisation GNV. Reconnu pour ses faibles émissions de CO2, NOx et particules, l’ED95 bénéficie d’un cadre fiscal avantageux, avec un taux de TICPE réduit, et la possibilité pour les opérateurs de flotte de bénéficier d’un suramortissement de 40 %, comme le GNV. Seul bémol : le pouvoir calorifique de l’éthanol est inférieur à celui du diesel, ce qui engendre une surconsommation de carburant, compensée en partie par le prix au litre. En effet, Altens propose une tarification qui permet d’atténuer le surcoût lié à cette surconsommation. Au final, l’ED95, seul biocarburant liquide Crit’Air1, est une vraie alternative au GNV et doit être comparé à ce dernier en prenant en compte la facilité d’exploitation amenée par la détention de sa propre cuve de stockage.

Quel investissement ?